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Le Dalaï Lama est une salope nazie !

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Message  Shlomo Beatmaster Sam 21 Fév - 13:07

Le Dalaï Lama est une salope nazie ! Dalai-lama-svastika-croix-gammee-nazi
En juillet 1938, un SS champion d’alpinisme est vainqueur de la face nord de l’Eiger, en Suisse : une « première ». Il s’appelle Heinrich Harrer. Le récit de son exploit, et sa photo avec Hitler, sont aussitôt diffusés massivement en Europe et dans le monde par la machine de propagande de Goebbels.

Harrer s’est inscrit à la SA en 1933, à la prise de pouvoir par Hitler. Passé à la SS, il est un favori du Reichsführer Heinrich Himmler.

Quelques mois après, autre « première » : ses camarades SS et lui-même sont vainqueurs des synagogues brûlées et des familles juives terrorisées, sur tout le territoire de l’Allemagne, lors de ce qu’ils nomment par dérision « la nuit de Cristal », le 9 novembre 1938.

Pendant que les Juifs passent à la nuit et au brouillard, Harrer est investi d’une mission par Hitler et Himmler en personnes : s’infiltrer au Tibet, en accord avec les ministres régents du dalaï-lama enfant, pour devenir précepteur de celui-ci. En pleine guerre d’agression contre la Chine japonaise, il s’agit de conquérir Lhassa comme nœud stratégique sur l’axe Berlin-Tokyo...

Heinrich Harrer a accompli sa mission de confiance hitlérienne..

Son rapport de mission, Sept ans au Tibet, était bourré de mensonges grossiers et de fascination pour le « Führerprinzip » impitoyable du théocratisme lamaïque. Il a été transformé en film de propagande mondiale, en 1997, par le cinéaste français Jean-Jacques Annaud. Sept ans au Tibet, produit à Hollywood n’était qu’un « Bienvenue au nazi chez les Tibétains » avec dans le rôle du « gentil SS » un Brad Pitt aux cheveux très blonds, aux yeux très bleus, assorti de tout plein de beaux drapeaux à croix gammée.

A la mort de Harrer en 2006, et encore ces jours-ci, le Dalaï-Lama a diffusé de ce SS une apologie sans réserves : c’est-à-dire sans les mots « nuit de Cristal », « Himmler », « Hitler », « Juifs »..

Le dalaï-lama met, depuis soixante ans son point d’honneur à ne pas parler de la mission au Tibet confiée en 1938 à son précepteur (Harrer) par Hitler et Himmler, ni des motifs mystiques, racistes et stratégiques de cette mission...

Au lieu de cela, il traite la destruction des Juifs d’Europe de rétribution, forcément juste, de fautes antérieures : il jette la Shoah à la poubelle du « karma ». Et il ne cesse de ressasser son remerciement à un SS d’avoir été son « initiateur à l’Occident et la modernité » .

En acceptant ce discours (du Dalaï-Lama), des Occidentaux et des modernes se font citoyens du déshonneur.
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Message  Shlomo Beatmaster Sam 21 Fév - 13:52

Georges André Morin, France Culture 10 septembre 2006.

Patrice Sifflet : A l’antenne, le groupe Marianne de la Libre Pensée.
Cher Georges André Morin, lors de notre émission de juin dernier consacrée au Da Vinci Code, vous avez signalé, de manière incidente, que l’actuel Dalaï Lama avait été formé par un ancien Waffen SS autrichien. Pouvez vous préciser ?

Georges André Morin : cette affaire est bien connue et depuis longtemps. Le film « Sept ans au Tibet » réalisé par J- J Annaud en 1997, avait bien involontairement ravivé les mémoires au grand dam des idolâtres occidentaux de sa Sainteté le 14 ème Dalaï Lama, Tenzin Gyatso à l’état civil, si j’ose dire. Quelques rappels factuels peuvent être tirées du best seller publié en 1952 et qui sert de trame au film, le livre de Heinrich Harrer, « Sept ans d’aventure au Tibet »...

P.S : la question que l’on se pose, c’est Harrer était–il ou non nazi ?
G- A M : ..
Harrer est devenu célèbre peu après l’Anschluss, annexion de l’Autriche par le Troisième Reich en mars 1938, pour avoir réussi l’ascension de la première face nord du mont Eiger le 24 juillet 1938. Il fut personnellement félicité par Hitler : « les enfants vous avez fait du bon travail ».
Harrer devint une des vedettes du régime (nazi). Il est tout naturellement incorporé dans ses troupes d’élite, les Waffen SS. Mais son livre est écrit avec prudence ; c’est très bien « fait »...
Alors que bien après la fin de la guerre, il relève avec satisfaction que les Tibétains ignorant complexes et préjugés contemplant les événements mondiaux avec le détachement du sage. Ni allusion, ni regret quant aux atrocités allemandes. On pourrait résumer : un sage « détachement ».
A le lire, Harrer n’a bien sûr aucune compétence en matière religieuse. Il est censé apporter au Dalaï Lama un aperçu sur le monde extérieur et les technologies modernes..
Mais les allusions géopolitiques sont quand même présentes. Le Tibet, écrit-il est un état « indépendant ». Sa superficie est trois fois celle de la France, trois fois le Reich. C’est le pays le plus haut du monde ; et son jeune élève est fier d’être le chef du pays le plus haut du monde.
Surtout, Harrer dit clairement à la fin que sa position est anticommuniste. Par ailleurs à la page 71 (de l’édition dont je dispose), il écrit : « la domination qu’exercent les moines du Tibet est absolue. C’est l’exemple type de la dictature cléricale ». Dont acte ! Mais sous sa plume ce constat n’est pas une critique…

P.S : au fait, la présence de Harrer est elle fortuite ?
G-A M : sa présence durant l’été 39 est tout sauf fortuite. C’est là où le bât blesse. L’expédition de Harrer fait suite à une expédition très officielle dirigée par un certain E.Schäfer, nommé en 1936 SS-Untersturmführer (sous lieutenant) de l’état major de Himmler, expédition organisée personnellement par Himmler dans le cadre de l’Ahnenerbe SS (« Héritage des ancêtres »), organisme créé au sein de la Waffen SS et dont la mission était de rechercher les origines de la race aryenne.
Un des membres de cette expédition était un ethnologue du nom de Beger qui s’illustrera à Auschwitz par de prétendues recherches scientifiques pour y mesurer des milliers de squelettes en vue de la création d’un musée de la race aryenne. Ce point est rappelé dans un article du journal le Monde du 5 août dernier dans un article intitulé « Shangri La ou le Tibet des fantasmes ». Je constate avec satisfaction que le politiquement correct finit par reconnaître un certain nombre de choses …
A la fin du XIXème siècle, les théoriciens racistes ou racialistes étaient Gobineau ou Vacher de Lapouge. Derrière cela existaient des sociétés secrètes dont la plus connue est la Société de Thulé, fantasmant sur des aryens purs aux confins du Tibet ou de l’Afghanistan, issus d’un royaume mystérieux, enterré et ayant survécu aux précédentes glaciations...
Outre le mythe de la race aryenne, cette région provoquait des fantasmes géostratégiques au même titre que le Caucase. Tandis qu’Hitler s’enferrait à Stalingrad, des alpinistes allemands eurent pour but de planter le drapeau nazi sur le mont Elbrouz qui n’est lui qu’à 5633 mètres. Dans « Mein Kampf », s’agissant des liens entre les origines aryennes et le nazisme, Hitler décrit la conception du drapeau nazi : « moi même, après d’innombrables essais, je m’arrêtais à une forme définitive : un rond blanc sur fond rouge et une croix gammée noire en son milieu. Les couleurs uniques témoignent de notre respect pour le passé. » Je précise : noir, blanc, rouge du drapeau impérial allemand. Dans le rouge nous voyons l’idée sociale du mouvement, dans le blanc l’idée nationaliste, dans la croix gammée (svastika), la mission de lutte pour le triomphe de l’aryen.
La croix gammée (svastika) est omniprésente dans les monastères tibétains. Je me souviens avoir eu la surprise en visitant un monastère tibétain, celui de Sanyé, en 1994,de me trouver environné de croix gammées. C’est un symbole solaire de la religion traditionnelle tibétaine, celle qui a précédé, lequel est le bouddhisme relativement récent dans l’histoire du Tibet.
Pour les liens entre la société de Thulé et les nazis soyons précis ; elle a inspiré en janvier 1919 la création du Parti national ouvrier allemand par Drexler et K.Harrer, homonyme de l’alpiniste lequel a été transformé en février 1920 en Parti National Socialiste ! Au sein dudit Parti nazi, Himmler s’est mis à rechercher de ces fantasmagories ; Hitler, affectant de se tenir en retrait.
Ce qui est sûr c’est que le XIIIème Dalaï Lama, Thubten Gyaso, a en personne procédé à la traduction de « Mein Kampf » en tibétain, dont un exemplaire lui était parvenu. Un ouvrage récent consacré aux théocrates du Tibet, en leur étant globalement favorable, décrit le XIIIème Dalaï Lama : « Thubten Gyaso avait été conduit dans la double voie de l’autoritarisme et du pessimisme. Il n’avait pas confiance en ses ministres ni en ses proches collaborateurs. Chacun avait peur du Dalaï Lama ».
Détail anecdotique pour un tibétain, il portait au début de sa vie, vers la Première guerre mondiale, des moustaches en crocs à la Guillaume II et à la fin de sa vie une calvitie distinguée et un petite moustache le faisant ressembler à un maréchal français en retraite à la réputation sinistre.

P.S : aujourd’hui le Dalaï Lama est présenté comme une victime du gouvernement chinois, exilé et persécuté. Il est partout à la télévision, fait de meetings, les médias tentent de l’aider. Tout le monde pleure. N’y a –t-il pas une contradiction avec ce que vous venez de dire ?
G-A M : historiquement, la notion de Tibet indépendant n’a aucun sens. Le Tibet fait partie du monde chinois, depuis le XIIIème siècle, voire plus.
Au début du XX ème siècle, les empires russes et britannique lorgnent sur ce territoire. Les Britanniques tentent une occupation du pays à partir de 1904. Ce qui conduit le XIII ème Dalaï Lama à se réfugier en Chine et à obtenir finalement, grande habileté de l’empire chinois finissant, la reconnaissance internationale de la souveraineté de la Chine sur le Tibet.
C’est à ce moment que le XIII ème, retenu à Lhassa, a exprimé ses premières velléités d’indépendance. A la fin des années 20, deux séries de timbres tibétains furent tout simplement des timbres de l’empire des Indes dans une première version surchargée et ensuite modifiée.
L’idée d’un Tibet indépendant dans les années 30 est symétrique de la constitution de l’état croupion du Mandchoukouo par les japonais pour justifier leur occupation de la Mandchourie. Il y a un facteur commun, c’est le petit nombre de pays – les Etats fascistes et le Vatican ainsi que le Salvador – qui alors ont une représentation diplomatique à Moukden, en Mandchourie ; le Salvador étant le pays qui a déposé aux Nations Unies plusieurs motions pour la reconnaissance d’un Tibet indépendant, lequel n’a jamais existé.
Il est stupéfiant de remarquer que le Dalaï Lama actuel, en 1994, a voulu réunir à Londres des personnalités occidentales ayant connu un Tibet indépendant. Sur les sept personnalités, il y avait les deux Waffen SS, Harrer l’alpiniste et Beger l’ethnologue d’ Auschwitz et un diplomate chilien du nom de Miguel Sorano qui a fait carrière dans le sillage de Kurt Waldheim, en étant proche de Pinochet et des communautés nazies du sud du Chili.

P.S : avec Pinochet, on trouve le pape Jean Paul II, comme c’est curieux…
G-A M : un facteur commun à toutes ces approches religieuses, c’est la verticalité du pouvoir. C’est le cas du Dalaï Lama qui représente un bouddhisme très minoritaire, venu au Tibet sur la Mongolie mâtiné de chamanisme sibérien et préexistant au bouddhisme des cultes solaires adeptes de la croix gammée (svastika).
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Message  Shlomo Beatmaster Sam 21 Fév - 14:00

Le bouddhisme bénéficie en Occident, fallacieusement, d’une aura de respect et de déférence, ceci participant de son image de non-violence, de sagesse et de sainteté, image qui est pourtant bien loin de correspondre à la réalité des faits. L’histoire démontre ainsi que le bouddhisme, loin d’avoir été la douce et bienfaisante école diffusant les préceptes du Bouddha (l’Eveillé), fut une entreprise qui ne dérogea pas à la règle commune de toutes les institutions religieuses mondaines, et épousa, avec un enthousiasme certain qui se traduira par des exactions sanguinaires, les thèmes les plus éculés de l’agressivité guerrière et belliqueuse, et, sous prétexte d’une ouverture « non-dualiste » à l’ensemble de la réalité phénoménale, se livra avec délectation au jeu pervers des déviations sexuelles outrées issues des reliquats des anciens cultes issus directement des tendances déviées du chamanisme.

Le bouddhisme tibétain est assez représentatif de cette attitude, ses différentes tendances ayant toujours exercé un pouvoir s’imposant comme une théocratie relativement oppressive et contraignante pendant des siècles. En effet, le Tibet fut soumis à un régime exclusif de servage exercé par les propriétaires terriens nobles, fonctionnaires et moines " bouddhistes ", servage souvent très oppressif : « Dans le Tibet, les prêtres détiennent la toute puissance, il s'agit d'une théocratie authentique où les pouvoirs absolus sont entre les mains d'un dieu réincarné. Les lamas ne sont plus seulement les juges, les instituteurs et les médecins, ils sont encore les plus riches propriétaires fonciers, les chefs politiques; outre les revenus qu'ils retirent des fermiers, ils exigent cadeaux et monnaies pour toute visite rituelle, toute bénédiction, toute cérémonie, la simonie est une loi rigoureusement appliquée.... » (R. Loup, Martyr au Tibet, Fribourg, 1950) .

De son côté, dans « Visa pour le Tibet » Alan Winnington parlera du lamaïsme comme d'une « religion mécanique » considérant le travail des classes laborieuses comme dû par simple obligation naturelle à l'égard des moines qui n'hésitèrent nullement à s'allier aux nobles pour les exploiter d'une manière scandaleuse. Son constat sur l'état de pauvreté indigente de la majorité des laïcs est frappant. Les châtiments corporels étaient d'une barbarie primaire, sachant que, du début du dix-septième siècle jusqu’au sein du dix-huitième siècle, les écoles rivales (Nyingmapa, Sakyapa, Kagyupa, Guélugpa) se livrèrent à des affrontements armés et à des exécutions sommaires d’une rare férocité, ce qui n’est pas sans quelques rapports avec l’univers spirituel du panthéon bouddhique, fleurissant de divinités plus terrifiantes et courroucées que franchement paisibles, images destinées à frapper l'imaginaire des fidèles, courbant l’échine devant une religion médiévale chargée d’un paganisme idolâtre exaltant les éléments naturels et les forces intermédiaires (esprits, puissances, etc), usant et abusant de la sorcellerie, ployant devant des superstitions ridicules, et surtout sollicités dans l'observance des préceptes en raison de leur « bienveillance matérielle », sonnante et trébuchante (au sens propre et figuré) à l'égard des religieux.

Il apparaît ainsi, que loin d’avoir été le royaume idéal consacré à « l’Eveil » selon les caduques images d’Epinal, le Tibet vécu dans l’oppression obscurantiste d’une religion théocratique se distinguant par un cléricalisme infiniment supérieur aux pires égarements du christianisme ; n’oublions-pas que dès le treizième siècle l'Empereur Kublai Khan créa le premier Grand Lama qui devait présider tous les autres lamas à l'instar d'un pape qui préside ses évêques. Plusieurs siècles plus tard, l'Empereur de Chine envoya une armée au Tibet pour soutenir le Grand Lama, un homme ambitieux de 25 ans, qui s'était alors donné le titre de Dalaï (Océan) lama, dirigeant l’ensemble du pays (ce n’est d’ailleurs pas une mince ironie de l’histoire que de constater que le premier Dalaï-lama fut installé par une armée chinoise…).
Pour élever son autorité, le premier Dalaï-lama saisira les monastères qui n'appartenaient pas à sa secte, et détruisit même les écritures bouddhistes qui étaient en désaccord avec sa revendication à la divinité. Le Dalaï-lama qui lui succéda poursuivit une vie sybaritique, jouissant de la compagnie de maîtresses licencieuses excitées par les pratiques tantriques les plus « endiablées », faisant la fête et agissant d’une manière peu conforme à une divinité incarnée. Pour cela, ce que nous cachent les pieuses hagiographies des ignorants bouddhistes occidentaux, il fut éliminé par ses prêtres. D’ailleurs durant 170 ans, malgré leur statut reconnu de « dieux », cinq Dalaï-lama furent assassinés par leurs grands prêtres ou par d'autres courtisans !

De leur côté, loin d’être en reste vis-à-vis de leurs homologues tibétains, nombre des maîtres bouddhistes zen, ne se sont pas contentés d'être des complices muets du pouvoir impérialiste japonais pendant des siècles, mais sont devenus, particulièrement à compter de l’ère Meiji (XIXe) des idéologues ardents de la politique nationaliste, encourageant et légitimant la guerre et les exactions au nom, précisément, du bouddhisme.

Comme l'écrivit un enseignant zen américain, l'ouvrage de Brian Victoria, « Zen en guerre » (universitaire d'origine néo-zélandaise, devenu moine dans la tradition Zen, décrivant dans son livre avec précision l'implication des structures bouddhiques dans la politique expansionniste et militaire japonaise entre les années 1894-1945), abondamment documenté, fit l'effet « d'un missile à longue portée lancé depuis l'autre côté du monde qui touche en plein cœur les communautés zen occidentales ».
Ceux-là mêmes (pratiquants zenistes plutôt « alter-mondialistes » héritiers des valeurs de 68) qui croyaient, naïvement, le bouddhisme indemne des débordements du fanatisme religieux découvrent, avec frisson, que les écoles zen (Soto shû, Rinzaï shû, Nichiren shû, etc.), lorsqu'elles ne priaient pas pour la gloire de l'empereur et du Japon, préparaient leurs fidèles à la guerre totale. Ce livre courageux est à lire impérativement par tous ceux qui s'intéressent à l'histoire du bouddhisme extrême-oriental ainsi qu'à ses dérives. Bénédiction des drapeaux, croisade pour la défense de la civilisation, théories suspectes de la guerre juste, on croyait ces images et ces thèmes réservés à l'Occident ; or les « dits » maîtres de « l’illumination » ont démontré sur ce sujet un zèle incroyable dans l’exaltation de la guerre génocidaire (Mandchourie, Corée, etc.), du meurtre systématique, du terrorisme et de la violence sous couvert d’indifférente impassibilité.
La compassion bouddhiste, bien loin de protéger l'Asie de pareilles dérives, participa à la mise en œuvre d’une idéologie guerrière au service d'un pouvoir agressif et ultra-impérialiste. Les plus grands maîtres (Kôdô Sawaki, Yamada Reirin, Hitane Jôzan), jusqu’au célèbre D. T. Suzuki, ont légitimé l'alliance entre le sabre et le Zen. Collecte de fonds pour l'effort de guerre, cérémonies spéciales pour l'obtention de la victoire, création de centres d'instruction, activités de renseignement, endoctrinement des populations, cette collusion n'a pas cessé en 1945, elle s'est métamorphosée dans le fameux « Zen d'entreprise », du Japon en plein essor.
Le pouvoir impérial a réussi à fabriquer de toutes pièces, avec la complicité des maîtres de sagesse, une « âme du Japon éternel » inquiétante. L'Occident n'est donc pas seul, loin de là, à porter la lourde tâche d'une impérative interrogation sérieuse des origines et de la nature des déviances totalitaires du siècle venant de s'écouler.

Mais le plus grave est sans aucun doute l’énorme tromperie spirituelle que représente cette prétendue philosophie de sagesse qu’est le bouddhisme. Entouré d’un prestige tenant à la méconnaissance des occidentaux à l’égard de ses sources réelles, le bouddhisme est d’une nature bien différente des stupides clichés pour touristes fatigués et dépressifs en mal d’exotisme qui nous sont généreusement octroyés depuis des décennies par de nombreux canaux (livres, journaux, revues, télés, films, etc.), sans compter sur le soutien indirect, mais cependant fort actif et utile, des tenants de la « Tradition » à la mode guénono-schuonienne qui nous chantent sur un air usé jusqu’à la corde qui est devenu aujourd’hui risible, le lassant et mensonger refrain de « l’unité transcendante des religions ».

A ce titre, fort instructive est l’histoire de June Campbell qu’elle a racontée dans un livre émouvant paru en 1996 sous le titre Traveller in Space: Gender, Identity and Tibetan Buddhism [Voyageur de l’espace : sexe, identité et bouddhisme tibétain], June Campbell qui joua un rôle important auprès d’un maître extrêmement vénéré du bouddhisme tibétain puisqu’elle fut l'interprète du célèbre Kalou Rinpoché. Etant directement à son service, elle ne souffrait pas de la pression des échelons intermédiaires souvent très perceptible et dérangeante dans ces écoles, et était donc dans des conditions parfaites pour faire un « beau voyage spirituel » au service de ce très digne moine.
Cependant, il lui fallut, raconte-t-elle dans son livre, accepter les relations sexuelles que le maître exigea d'elle ( il était un « chaste » moine portant la robe et visiblement astreint à leurs voeux), puis les relations sexuelles avec l'un de ses proches, un parent à lui, c'est à dire sans doute une forme courante de la polyandrie répandue dans les cultures himalayennes. Enfin une deuxième maîtresse, beaucoup plus jeune évidemment et aux charmes « spirituels » supérieurs, fut introduite dans l’intimité des deux hommes et June dut accepter la nouvelle venue (qui mourut d'ailleurs prématurément sans doute en raison de quelques excessives "ascèses " sexuelles).
A l'issue de l'expérience, c'est à dire après la mort du vénérable Kalou, June mit près de quatorze années avant de pouvoir se résoudre à raconter son histoire. Et ce n'est pas un merveilleux voyage qu'elle raconte, mais l'histoire d'un douloureuse souffrance. Les deux hommes ayant exigé d'elle l'absolu secret sur ces relations qui auraient terni l'image du maître si elles étaient venues à la connaissance des disciples ; June se sentit, selon ses mots, « abused » (abusée, flouée, trompée), et mit longtemps pour se reconstruire.
Rappelons pour les moins avertis, que le fameux Kalou Rinpoché était sans doute le moine le plus réputé en Occident dans son école. Il était, et est reconnu comme un véritable « bodhisattva », beaucoup d’occidentaux « abusés », et non des moindres, s’étant mis à l’école de ce maître tantrique dispensant les fondements du Vajrayana. Le voyage de sa disciple fut cependant décevant, et on imagine sans peine ce que cela doit être que de suivre aveuglément des maîtres encore moins accomplis, de moindre exigence ou de moindre expérience.


On remarquera, alors que des milliers d’occidentaux en rupture avec leur propre tradition, ne se signant jamais lorsqu’ils rentrent dans une église, ne récitant aucune prière chrétienne, totalement étrangers aux fondements doctrinaux du christianisme, vivants leurs existences comme des athées stupides, se précipitent sans discernement aucun aux pieds du moindre lama aviné et libidineux, (parfois de jeunes enfants incultes ou des adolescents boutonneux beaucoup plus intéressés par les mœurs « engageantes » des jeunes dévotes européennes pour le « coup » (sic) authentiquement « libérées », ou des lucioles de la société marchande ), et que ce type de dérives tantriques qui conduisent, sous prétexte de libération spirituelle, à des situations psychologiques tragiques, n’est pas sans faire écho à ce qui se produisit par exemple dès les années 30 pour Jean Marquès Rivière, qui travaillait pour le journal Le Voile d’Isis dans lequel publiait l’élite occultiste de l’Europe et dont l’un des rédacteurs principaux était René Guénon, qui accomplira un rituel tantrique (« avec du sang et de l’alcool »), qui le laissa possédé par une déité tibétaine. Ce fut seulement par l’intervention d’un exorciste catholique qu’il put être libéré de la possession, faisant que par gratitude il se convertit au christianisme.
Kalou Rinpoché disait, sans doute pour consoler June Campbell et ses multiples maîtresses de passage, qu'il n'y a aucun mal dans le désir, qu’au contraire il est « de la nature de la félicité » et se présente comme tel lorsqu'il est reconnu dans son essence « non-duelle ». Encore une fois, est démontrée ici de façon patente, l’inexactitude totale de ces fausses théories prétendument « non-duelles » mais foncièrement sexualisées et travaillées par l’exaltation malsaine des désirs les plus triviaux, dominées par les pulsions grégaires de l’humaine condition, théories païennes oublieuses de ce qu’il en est de la nature profondément « désorientée » de l’homme depuis la rupture adamique, et en quoi le rêve d’une « pseudo libération », que l’on peut aisément qualifier de rigoureusement pélagien dans ses vues (ce qui peut d’ailleurs se dire de toutes les voies orientales globalement), s’appuyant sur des techniques forcément limitées (mantras, mudras, visualisations, etc.) et des conceptions faussées, est un rêve imaginaire qui se paye très chèrement et se conclut, généralement, par d’amères désillusions et des abîmes de déréliction.


Le bouddhisme, qui sous couvert d’apprentissage d’innocentes techniques méditatives dont l’Occident aurait perdu la pratique selon les ridicules et absurdes thèses guénoniennes, alors même que l’on sait qu’il n’est jamais anodin de se livrer à des exercices qui véhiculent clairement des influences spirituelles bien définies et à l’évidence douteuses puisque sous-tendues par des principes contraires à l’enseignement des Ecritures, rien n’étant jamais « neutre » dans ces domaines contrairement à ce que l’on veut faire croire aux esprits crédules, le bouddhisme donc, dans ses différentes versions (Tibet, Japon, Chine, Corée), doit être de ce fait dénoncé pour ce qu’il est, c’est-à-dire un piège dangereux pour un chrétien, une voie sans issue à éviter, un itinéraire moralement périlleux pour une âme véritablement en quête de la Vérité, un cheminement incompatible avec les saintes lumières de la Révélation.
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Message  1050 Dim 22 Fév - 1:14

avec un pote (Alex, que tu connais), on a décidé de monter un bar qui s'appellera l'"Alawak" pour faire l'"Alawak Bar". Et en face on en fera un autre qui s'appellera le "Mitzva". Et on organisera des combats d'enfants noirs pour faire rire le peuple.

Ce qu'on ne fera pas, comme tout le monde s'en doute. On ne veut pas voler la vedette à Charlie.
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Message  PIERRE92 Mar 24 Fév - 18:43

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Message  PIERRE92 Mer 25 Fév - 11:20

Schlomo, je crois qu'on est observé avec Vounet

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PIERRE92
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Message  *_* Mer 25 Fév - 13:33

Moi je suis un Bouddhiste intégriste affraid  

et vos opinions !!! je m'assoie dessus   study



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